10% d'augmentation du point d'indice et son indexation sur la hausse des prix
L’abandon du Plan Action Publique 2022 et du document d’orientation sur le « nouveau contrat social des agents publics »
L’abrogation du RIFSEEP, dispositif injuste et portant atteinte à la Fonction publique de carrière et à l’égalité de traitement entre les agents
Une réelle négociation salariale, immédiate, avec le dégel de la valeur du point d’indice, le rattrapage des pertes subies et l’augmentation du pouvoir d’achat
L’arrêt des suppressions d’emplois et les créations d’emplois statutaires dans les nombreux services qui en ont besoin.
Un nouveau plan de titularisation des contractuels, de nouvelles mesures pour combattre la précarité et non pour favoriser son extension comme le préconise le gouvernement.
L’abrogation du jour de carence
Le respect plein et entier et le maintien des comités techniques et CHSCT
Le respect du cadre des 35 h et des dispositifs négociés avant 2001, contre toute augmentation du temps de travail
La défense et la pérennisation du système de retraite par répartition et des régimes particuliers, dont la CNRACL
toutes et tous, disons NON à Macron et à sa politique d'austérité!!!
La retraite à 60 ans, le refus de tout système de retraite par points, ainsi que l’amélioration de la reconnaissance de la catégorie ative et de la pénibilité
Le rétablissement du 1 % CNFPT et son augmentation à 3 %
Pourquoi vos représentant.e.s ont-ils boycotté la séance du Comité technique du 27 juin ?
Chères collègues, chers collègues,
Suite à notre dépôt de préavis de grève le 25 mai 2022, nous sommes toujours en attente de dates de rencontre du groupe de travail prévu sur l’outil de dotation des lycées, et plus globalement d’une discussion sur les moyens nécessaires à la réalisation de toutes les missions de la Région.
Pour mémoire, à la fin 2018, la Région Nouvelle-Aquitaine a adopté un nouveau barème permettant de calculer les postes affectés aux lycées et aux CREPS : au nombre de mètres carrés, de repas servis, etc…, correspond un nombre de postes. Toutes les organisations syndicales s’étaient opposées à cet outil lors de sa présentation en Comité technique d’octobre 2018, considérant que les moyens alloués ne permettaient pas aux collègues de ces établissements d’accomplir correctement leurs missions d’entretien, de maintenance, de restauration, etc... Nous avions en effet pu constater les conséquences néfastes de l’application du barème précédent en Aquitaine avant la fusion.
Région Nouvelle-Aquitaine: Préavis de grève à compter du mercredi 1er juin 2022 à 00h00
L'intersyndicale de Nouvelle-Aquitaine dépose un Préavis de grève
Monsieur le Président,
A la suite du passage du « dialogue » de dotation au lycée Renoir à Limoges, nous apprenons que 7 à 8 postes doivent disparaître. Ce « dialogue » se poursuit dans d’autres lycées, augurant d’autres suppressions à venir. Pour les organisations syndicales, cette situation ne peut qu’aggraver des conditions de travail déjà dégradées des agents de notre collectivité.
Nous tenons à vous rappeler que ces mêmes agents ont tous répondu présents pour maintenir l'accueil de nos enfants et de leurs enseignants et personnels soignants dans les lycées de la Région lors de la crise Covid. Dans les 2 années qui viennent de s’écouler, nos collègues étaient en première ligne. Cette crise a révélé toute l’importance de leur travail, qu’ils ont accompli avec un grand sens du devoir que vous avez reconnu.
Pourtant, la crise s’éloignant, le « dialogue » de dotation a repris. Sa mise en œuvre violente est vécue comme une terrible injustice par les agents !
La suppression de postes qu’il entraîne, même au fil de l'eau, ajoutera mécaniquement à ceux qui restent, une charge supplémentaire de travail et impactera leur santé.
Un rassemblement était organisé ce mardi 27 avril devant l’établissement. Un employé syndiqué estime que son poste a été vidé de ses attributions par la direction du lycée
À l’appel du syndicat régional CGT du Conseil régional, des unions départementale et locale CGT40 et de la CGT Éduc’action 40, une trentaine de manifestants s’est réunie devant les entrées du lycée professionnel Frédéric-Estève de Mont-de-Marsan, ce mardi 27 avril en fin de matinée.
Ils dénoncent une discrimination syndicale à l’encontre de Marc Bireloze, agent d’accueil de l’établissement et représentant CGT. Selon un tract diffusé par la CGT, c’est depuis un conflit datant de 2014 entre les personnels territoriaux salariés du Conseil régional et l’administration du lycée que la situation s’est détériorée. « Les brimades et la discrimination sont devenues des armes privilégiées du gestionnaire à l’égard des agents du Conseil régional », précise le tract.
Sorties syndicales refusées
« Je suis le seul agent d’accueil d’établissement des Landes à ne pas avoir d’ordinateur », affirme Marc Bireloze, qui ajoute que l’établissement lui a aussi refusé des sorties syndicales sans raison valable. Appuyé par les manifestants, il demande la levée de sanctions prises contre lui et la récupération d’attributions liées à son poste. Jointe par « Sud Ouest », la direction de l’établissement n’avait pas répondu à nos sollicitations mardi soir.
Le syndicat CGTCRNA et sa section du 40, ainsi que Marc BIRELOZE remercient chaleureusement, L'UL de Mont de Marsan, L'UD 40, EDUC'ACTION 40 et les Hospitaliers de Mont de Marsan pour leur présence et soutien en force le mardi 27 avril dernier, contre la discrimination manifeste que subit notre collègue et élu Marc BIRELOZE dans son lycée Frédéric ESTEVE de Mont de Marsan depuis des années.
Nous vous rendrons compte des avancées et changements que cette action aura engendrés.
Syndicalement.
LDG quesaco ?
Cher-e-s collègues,
Nous ne sommes plus des agents d’action et de service de l’intérêt général, nous ne sommes pour les décideurs et la haute fonction publique que des process, des tableaux de bord et de la gestion.
S’ils ne voient pas que nous crevons de cela dans les temps qui courent et bien ils ne verront jamais rien.
Infos Outils de Dotations dans les lycées de Nouvelle-Aquitaine
Infos Outils de Dotations dans les lycées de Nouvelle-Aquitaine : La mobilisation, ça fait du bien et ça donne des résultats.
A la suite du mouvement de grève du 5 novembre et de la rencontre avec le président le 14 novembre, nous avons obtenu des engagements de l'exécutif : réouverture des discussions sur l'outil et révision des audits déjà effectués.
Suite à l'appel à la grève lancé par la CGT, rejointe par l'ensemble des syndicats de la Région, près d'une centaine d'agents se sont retrouvés à l'Hôtel de Région de Limoges mardi 5 décembre.
Pourquoi ?
Pour signifier leur opposition au nouveau mode de calcul mis en place par la Région afin d'affecter les dotations de personnel dans les lycées.
Programmé en mode Cost Killer, cet outil calcule le nombre de postes nécessaires par lycées en fonctions de données chiffrées (surface, nombre d'élèves...) pondérées au doigt mouillé sans prendre en compte la réalité du terrain et les tâches attribués aux agents. Et surtout, sans prendre l'avis des collègues sur le terrain qui pourraient expliquer les spécificités de chaque service. On ne sait jamais, ils pourraient avoir des propositions.
Pour le questeur, interviewé par France 3, « dans certains lycées, les dotations étaient confortables, c'était très bien, mais l'argent public est rare ». Le choix initial a donc clairement été fait de minimiser les prestations aux élèves en augmentant les tâches du personnel. Et pourtant, à regarder les chiffres des arrêts maladie dans les lycées, on se dit que le quotidien dans les établissements n'a vraiment rien de confortable. Idée pour l'administration : programmons une semaine « Vis ma vie au lycée » et tirons en les enseignements !
67 lycées audités sur les 276 que compte la Région et déjà 14 postes en moins pour l'ex-Limousin . Pour le moment l'Aquitaine et le Poitou-Charentes s'en sortent mieux, mais jusqu'à quand... Diviser pour mieux régner, une stratégie bien connue que les agents de la Région vivent au quotidien.